La Terre et les Rêveries du Repos

La Terre et les Rêveries du Repos, by Bachelard Gaston (Librairie José Corti, Paris, 1948)

 

p. 121/35-122/2

[Je dis : ma Mère. Et c’est à vous que je pense, ô Maison!

Maison des beaux étés obscurs de mon enfance.

(Mélancolie.)

Mère et Maison, voilà les deux archétypes dans le même vers.]1: Kintāham kuṭikaṃ brūmi,/Mātaran kuṭikaṃ brūsi (S.I,8)2

 

p. 186/1-8

[… le principe de la petite fenètre que nous avons énoncé à propos de la lucarne du grenier : voir sans être vu, … Charles Baudouin (Victor Hugo, p. 158) signale chez Victor Hugo la fréquence de la rime fenêtre-naître. Et Baudouin signale ce rapprochement dans le chapitre où il prouve que le désir de curiosité est le désir de connaître le secret de la procréation.]3: A womb with a view.

 

p. 218/24-26

[Toujours les labyrinthes ont un léger mouvement qui prépare une nausée, un vertige, un malaise pour le rêveur labyrinthé.]4: The wall in the ‘purgatorio’.

 

p. 225/4-7

[… Lévis envisage l’action salutaire d’un fantôme-choc, comme si une petite peur, une peur insidieuse, rivée dans l’inconscient, pouvait être guérie par une peur plus claire!]5: Excellent comment!


1

‘I say “My Mother”, and it is of you that I think, O house!

The house of the obscure and beautiful summers of my childhood.

(Melancholy)

Mother and House, these are the two archetypes in the same verse.’

 

2 ‘Of what do I say “hut”? / Of Mother do you say “hut”.’

 

3 ‘… the principle of the small window that we have formulated about the skylight in the loft: to see without being seen, … Charles Baudouin (Victor Hugo, p. 158) points out in Victor Hugo the frequency of the rhyme fenêtre-naître [window-to be born]. And Baudouin points out this parallel in the chapter where he proves that desire of curiosity is desire to know the secret of procreation.’

 

4 ‘Always labyrinthes have a slight movement which prepares a nausea, a dizziness, an uneasiness for the labyrinthed dreamer.’

 

5 ‘… Lévi conceives the salutary action of a shock-phantom, as if a little fear, an insidious fear, riveted into the unconscious could be cured by a clearer one!’